Salut*
J'ai compris que lorsqu'un rayonnement ionisant pénètre, il ionise le gaz, des electrons se multiplient par avalanche electronique mais ensuite que se passe t il
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| Auteur : | meary [ 09 Jan 2006 12:49 ] |
| Sujet du message : | GEIGER MULLER |
Salut* J'ai compris que lorsqu'un rayonnement ionisant pénètre, il ionise le gaz, des electrons se multiplient par avalanche electronique mais ensuite que se passe t il
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| Auteur : | c2k [ 10 Jan 2006 18:24 ] |
| Sujet du message : | cours sur les détecteurs |
Tu peux trouver sur notre site un très bon cours de Jérémie qui explique, entre autres, comment fonctionne un compteur Geigeur Muller. Si malgrè tout tu as des points particuliers à éclairer, fait nous signe
Le cours se trouve dans la section  COURS/Médecine nucléaire / Les appareillages
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| Auteur : | arno [ 10 Jan 2006 22:57 ] |
| Sujet du message : | |
bein de mémoire .... plus le gaz s'ionise, plus il y a d'électrons qui se déplacent et comme ce sont les electrons qui transportent le courant, on peut detecter entre les electrodes du compteur un courant qui grandit en fonction de l'ionisation. Donc plus il y a de radioactivité plus on on produit de courant ... que l'on detecte et qu'on observe physiquement avec l'aiguille du compteur. Comme on ne peut detecter directement la radioactivité ... on se sert de la chambre d'ionisation qui permet de changer la radioA en courant et ce courant est proportionnel à la radioA.  C'est pigé ?
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| Auteur : | jeremie [ 12 Mars 2007 21:12 ] |
| Sujet du message : | |
En fait... un détecteur GM n'est pas une chambre d'ionisation (bien que cela soit le même montage de base) la tension entre anode et cathode y est bcp (bcp) + grande (environ 1000 V) ... tellement grande que la moinde particule ionisante pénétrant le détecteur va créer une décharge mobilisant absolument tous les électrons (et les ions positifs du gaz mais ils vont moins vite) par accélération des e- qui vont en provoquer d'autres (des ionisations) et par création d'UV (C pour les citer) qui vont eux aussi ioniser... donc décharge maximale à chaque passage d'une seule particule... qui parvient même à faire un bruit "tic-tic"  ... des dérivés halogénés vont arrêter le phénomène d'avalanche (de Townsend).. pour que le détecteur puisse fonctionner à nouveau...
Avantage: pas d'amplification d'où une fabrication assez "simple" et un coût assez modeste (600 euros).. Inconvénients: un temps mort important et aucune sorte d'information sur l'énergie de la particule ionisante... Ce n'est pas le cas des compteurs à chambre d'ionisation et proportionnels... mais je ne vais pas tout dévoiler ce soir... (faudra attendre un peu)
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